[ Modèle ] Vice-Amiral Roa Prague [ Validé ]

Je me présente, Denis, 16 printemps bien tassés, belge de mon état et (très) fier de l’être.
J’incarne bon nombre de stéréotypes des héros de manga : Beau, fort, intelligent, meneur d’hommes, narcissique… Quoi ? Mais euh… Non !
Alors, enchaînons un peu plus sérieusement. Etudiant à l’Athénée Royale de Tamines, quoique « étudiant » est un bien grand mot vu que je n’en touche pas une. Car effectivement, si l’on devait me trouver un défaut (Quoi ? Moi, égocentrique ?), ce serait une paresse incommensurable. Mais bon, pour ce qui est des études, mon intelligence pallie en grande partie ce gigantesque défaut.

Je suis accro à la cinématographie, je regarde plus ou moins tous les genres : Drame, Science-Fiction, Comédie (Celles qui ont un fond et non pas qui soient des successions de débilités), Aventure, Fantastique, Action (Quoique un peu moins à ce niveau, je n’aime pas vraiment les films sans scénario béton, et le genre « Action » est trop peu fournie à ce niveau-là) mais je n’arrive pas à encadrer le Romantisme à l’eau de rose qui représente toujours le même schéma.
J’adore bouger, faire du sport – Je pratique la badminton en club, et je joue au tennis, au volley et au basket régulièrement – pour conserver la forme ou alors tout simplement sortir avec des amis. Traîner dans la rue avec le simple but de discuter de tout et de n’importe quoi.
Une autre de mes passions, qui est d’ailleurs la plus grande, c’est l’écriture. Je pratique sur forum RP depuis un bail à présent et mon niveau n’a cessé de s’affiner. Je me suis d’ailleurs mis à la création de romans et autres nouvelles récemment.
Pour finir, je citerai les concerts de Metal qui prennent une bonne partie de mon temps, Metal Hardcore de préférence avec ses pogos bien sanglants.

Une particularité particulière (Sans blague) chez moi, c’est que je ne porte pas mon adoration sur les personnages principaux, et ce dans n’importe quelle forme de récit que ce soit. J’adore les persos secondaires. Le genre de protagonistes qui fait peu d'apparitions, mais des apparitions remarquées, Garp notamment, ou bien encore le mythique Baggy le Clown, Smoker, le Conseil des Cinq Etoiles m’a également fait une très forte impression, bien que je ne sache pas exactement pourquoi. Je suis aussi un aficionados des méchants tels qu’Arlong qui reste l’un de mes personnages favoris, Ener, Crocodile, Baggy (Je le cite une nouvelle fois mais il en vaut la peine), Crow, j’ai bien aimé la profondeur du personnage de Spandam, etc.
Bien sur, si l’on veut bercer dans le classique, mon choix se porte sur Zorro Roronoa qui est l’un de mes protagonistes favoris, tout manga confondu (Il se place juste après Hiruma d’ES 21, il me semble), etc.

[ Modèle ] Vice-Amiral Roa Prague [ Validé ] Lejouos9

[ Modèle ] Vice-Amiral Roa Prague [ Validé ] Roa2rh8

Nom et prénom : Roa Prague
Age : Quatre-vingt-sept ans
Grade : Vice-Amiral. Commandant du 1er Régiment de Cavalerie.

Position habituelle : A l’accoutumée, il officie au QG même s’il n’y reste jamais longtemps. Son unité étant assez spéciale, il est souvent réquisitionné. Il y a présent un an, il fut mandaté à Alabasta pour aider l’Armée Royale à stopper la guerre civile submergeant le royaume.

Description physique : La première chose qui marque chez cet homme est sa charpente bien taillée. Son buste fort et imposant impressionne tant son visage vieux, morne et fatigué contraste avec une carrure idéalisée. Ses jambes musclées au fil de ses montées équestres ancrent son auguste corps dans une stabilité certaine. Ses gros bras inspirent la puissance et désignent la robustesse de jadis. Car cette herculéenne enveloppe corporelle est le vestige du passé et d’un entraînement drastique. Pourtant, il est difficile de croire que le tout soit aussi bien entretenu à un âge si avancé. Roa dit inlassablement qu’il s’est arrêté de vieillir à vingt ans d’un air convaincu, pensant que cette explication est suffisante. Malgré sa grande forme évidente, il n’a de cesse répéter qu’il est extrêmement amoindri en comparaison de ses jeunes années.

Malgré les nombreux printemps laissés derrière lui, le Vice-Amiral se tient le dos droit, le torse gonflé, l’air fier. Sa démarche n’est nullement gauche à cause d’une quelconque blessure ou amoindrie par le poids des ans. Il a l’allure d’une personne pouvant surmonter une bonne demi-douzaine d’Aqua Laguna de pleine face à la suite – bien que ce ne soit pas le cas, personne n’est capable d’un tel exploit. En public, il se montre vigoureux pour le moral de ses troupes. Mais il ne manque pas une occasion de s’affaler sur une chaise ou de piquer un roupillon réparateur quand ça lui chante. Pareillement, quand il est sur son cheval, il courbe son dos et laisse tomber ses épaules. Alors que cela devrait être le contraire, il a l’air majestueux une fois les pieds au sol mais pas quand il chevauche.

Sa tête aux formes arrondies est ornée d’une pilosité touffue et blanchâtre. Sa chevelure ressemble à une crinière striée d’argent pour la longueur et à la tonsure d’un mammouth pour la forme, ce qui n’est pas très flatteur. Ses petits yeux en amande débordent d’énergie sous ses rides innombrables. Mais comme il en parle fréquemment, ce n’est pas quelques rides qui vont faire de lui un vieillard. Au-dessous de son large nez aquilin se trouve des moustaches de taille hors-norme. En forme de croissant toutefois moins arrondis, elles défient toutes proportions de la nature. Celles-ci surplombent une barbe touffue, épaisse comme la jungle de Little Garden. Cette dense fourrure voile ses lèvres et donne l’impression qu’il n’a pas de bouche mais cette dernière se voit dès qu’il l’ouvre bien grand pour s’esclaffer de rire comme il le fait généralement.

Au niveau des mensurations, Roa est quelqu’un d’assez normal dans le monde de One Piece, tellement ce dernier regorge de géants, de brutes et d’armoires à glace. A part lors des visites médicales imposées par l’armée, il ne prend jamais ses mesures, il dit qu’il n’a pas le temps pour ces futilités. On peut donc affirmer de manière évasive qu’il dépasse le mètre nonante et les cent-dix kilos. Il chausse du quarante-sept fillette.

Une autre de ses spécificités consiste dans le fait que c’est un gaucher. Le Vice-Amiral Prague est fier d’appartenir à cette minorité. D’autant plus que cela lui est fort utile en combat. Cela a tendance à déstabiliser les adversaires qui sont trop habitués à se confronter à des droitiers. Et cela permet une meilleure pénétration des défenses adverses lors d’une mêlée, car les boucliers sont souvent portés au bras gauche ce qui laisse une plus ample ouverture d’attaque pour les gauchers.

Les vêtements que l’officier aime porter sont bien souvent empreint de couleurs vives. C’est d’ailleurs cela qui lui donne un air quelque peu loufoque : Le rouge de sa chemise et l’orange de sa cravate jurant avec le blanc pur de son uniforme. Tiens, d’ailleurs, l’uniforme parlons-en ; Sa veste reste classique, quelques boutons, larges cols. Seul un détail personnel la fait différer des autres : Les manchettes racées aux symboles sobres et aux boutons de manchettes coûtant chacun plusieurs milliers de Berrys. Son pantalon, par contre, ne se différencie nullement, juste une taile XXL donné par l’intendant du textile, celui qui distribue les uniformes neufs pour les haut-officiers au QG. Les deux poches de son pantalon lui sont très utiles vu qu’il a toujours les mains dedans, car l’Amiral n’aime pas avoir les bras qui pendent n’importe comment, cela lui donne l’impression qu’ils sont inutiles - alors qu’ils font sa fierté – ce qu’il ne tolère pas. Son sabre de cavalerie est solidement placé en haut de ses cuisses grâce à une corde de nylon encerclant son bassin.
Pour finir vient son manteau d’officiers. Il le trouve encombrant mais le garde car c’est la preuve formelle de sa place dans la hiérarchie. Il ne le porte donc pas – Roa le pose juste sur ses épaules – et laisse ballotter les manches au gré de ses mouvements. Les trois flèches sur ses épaulettes sont l’indication de son rang exact : Vice-Amiral. Dans son dos est écrit le dicton de la Marine « La Justice Absolue ».

Profil psychologique : Malgré ce que l’on peut penser de lui, Roa n’est pas quelqu’un de facile à cerner tant ses fréquentes sautes d’humeur le changent du tout au tout. Il se joue des apparences, utilisant son profil de vieillard comme une arme. Il met à ses fins ses airs loufoques ainsi que son cœur de joyeux luron et peut quelques fois passer pour un idiot mais il n’en est rien. Une fois empreint de tout son sérieux, il bénéficie d’un grand charisme et ses répliques cinglantes fusent. Il ne fait néanmoins pas « exprès », il aime la vie et trouve que sourire et rigoler sont les meilleures choses à faire sur cette terre. De ce fait, l’effet de surprise est total lorsqu’une personne ne connaissant que le gai lascar se retrouve confronté à un vieillard sévère, cynique, à la répartie sarcastique et aux yeux pétillants d’intelligence.

La familiarité est son maître-mot, ayant été élevé loin de toute bonne éducation et ayant donc du faire de nombreux efforts lors de ses jeunes années dans la Marine, il juge qu’il a du supporter assez longtemps toutes ces bonnes manières. Qui plus est, la formule de politesse voulant que l’on respecte ses aînés ne l’affecte nullement vu qu’il n’a quasiment pas d’aîné dans la Marine à part peut-être Dai Tactician - la fameuse Vice-Amirale Tsuru. Il se laisse donc aller de ce côté-là. Bien évidemment, la discipline lui a été inculquée pendant plus de la moitié de sa vie, il n’en a donc pas oublié les principes. Dès lors, l’on ne le verra jamais brailler à tout va en pleine réunion de hauts-officiers du Quartier Général, il sait quand il peut se permettre des familiarités ou pas. D'autre part, il ne supporte pas quand on lui manque de respect et n’hésite pas à rappeler à l’ordre ceux qui commettent l’infamie.

Son existence-même est conduite par l’honneur. Jamais il n’a tourné le dos à l’ennemi et jamais il ne le tournera. Egalement quand il donne sa parole, il la tient, même si c’est à un pirate sans foi ni loi ou quelconque autre hors-la-loi, ce qui a d’ailleurs fait en grande partie sa réputation. Roa rendra toujours ses dettes et ce peu importe le temps que ça prendra. Tout ce qu’on pourra lui dire, tout ce que l’on pourra lui faire subir ne le fera pas baisser la tête. Il gardera toujours celle-ci haute et droite. S’il y a quelque chose qu’il aime bien chez lui-même, c’est qu’il arrive à être fier de ce qu’il voit quand il fait face à un miroir.

Attardons-nous un peu plus sur la profondeur même de cet être, une telle profondeur que l’on plonge dans la noirceur. Malgré tous ses semblants de sympathique gaillard, il peut rapidement varié dans la méchanceté et l’irritation. Le Vice-Amiral Prague adore remettre les gens à leur place quand il peut se le permettre, c’est-à-dire très souvent. Si les mots étaient des armes, il serait encore plus dangereux tellement sa répartie sardonique lâchée sur un ton placide en a rebuté plus d’un. Dans ces moments plutôt rares, il étonne de par son ton méphistophélique, son machiavélisme et sa laideur d’esprit. Cela en est d’autant plus blessant qu’il parle toujours posément.

Ce caractère posé est d’ailleurs un héritage d’une vie passée sur les champs de bataille, la guerre et ses escarmouches. Il a tellement vu de violence lors de son existence que cela le laisse à présent indifférent. Dans sa jeunesse, il courait se mettre derrière l’abri le plus proche dès que le premier coup de feu résonnait. Aujourd’hui, il ne se cache plus, au risque de se prendre des balles perdues. Lors de tirs d’artillerie, il est capable de rester sous le feu et de taper un brin de causette avec ses hommes apeurés comme si le fait que l’on canardait ses postions lui était totalement indifférent (Petite référence à Apocalypse Now et à son Lieutenant-Colonel Kilgore).

En bref, c’est quelqu’un d’assez versatile. Bon vivant dans l’ensemble, c’est quelqu’un de charismatique, d’intelligent, qui se fait facilement aimer. Et ce, malgré ses quelques revirements de caractère. Après tout, ce n’est qu’un être humain avec ses qualités… Et ses défauts.

Armes(s) : Roa porte un sabre de cavalerie à la ceinture. Ce qui diffère largement des autres fers faites pour le combat pieds au sol. Le poids de cette épée est inférieure à la moyenne pour pouvoir être tenu à une main lors des charges. La garde incurvée en demi-sphère protège la main des assauts destinés à désarmer. La poignée droite souscrit une meilleure prise en main et permet ainsi de ne pas le lâcher. La forme de la lame donne accès à une meilleure pénétration dans l’air, le sabre pouvant ainsi être manié du poignet, ce que facilite la tâche d’un cavalier. Cette sorte d’arme est également plus solide, pour pouvoir pourfendre les défenses adverses – armures et autres. Gesshoku – Eclipse de lune - de son nom est un des 21 grands sabres.

Néanmoins, le code d’honneur du Vice-Amiral l’empêche d’utiliser un sabre de cavalerie en dehors d’une charge de cavalerie. Dès lors qu’il a les pieds au sol, il se bat à mains nues. S’étant forgé une technique de poings destructrice, il s’avère tout aussi dangereux. Toutefois, sa fierté l’oblige à répondre à un duel quand on lui en lance un.

Son cheval, Aldebeert, l’accompagne depuis des lustres, ce qui est très étrange car une telle monture ne vit généralement pas plus d’une vingtaine d’années. Mais il paraîtrait qu’Aldebeert prend ses racines d’une espèce d’équidé anormale, découverte sur une île reculée de Grandline. Plus véloce, plus résistant et bénéficiant d’une longévité hors du commun, cette espèce est aujourd’hui en voie de disparition. Plus qu’un simple animal, c’est le meilleur ami de Roa. Le fil du temps a forgé une certaine compréhension entre eux, comme une forme de langage. Il est extrêmement rare de voir Roa ne pas être juché sur son compagnon à quatre pattes, comme s’il était né dessus. Tellement rare qu’il en oublie souvent que les chevaux ne sont pas admis dans la plupart des bâtiments, ce qui lui attire souvent quelques légers problèmes.
Les sabots de l’équidé et la puissance de ses pattes font de lui une véritable arme. Une de ses ruades peut envoyer quiconque au tapis. Enfin, ça, c’était quand il y a une vingtaine de printemps. Car aujourd’hui, Aldebeert est tout aussi vieux et usé que son maître. Mais l’aspect de ces deux bougres fait parti de leur arsenal. C’est une arme plus efficace que n’importe laquelle : L’effet de surprise.
Pour terminer, le grand scientifique Vegapunk a inventé un procédé révolutionnaire. Permettant à la monture de Roa de courir sur les flots grâce à un alliage de granit marin et dials incrusté dans ses sabots.

Fruit du démon : Il ne bénéficie d’aucun pouvoir provenant de quelconque fruit du démon. De plus, le Vice-Amiral n’est pas en quête de ceux-ci, il ne s’intéresse ni à l’argent ni à la possession de nouvelles capacités.

Histoire :

Bûche-Ronde est une île prospère de Grandline. Immense terrain de terre orné de denses forêts aux arbres plus rares les uns que les autres, Bûche-Ronde fleurit grâce au commerce du bois qui lui est si propre. Néanmoins, seuls ses habitants ont la technique pour bien s’occuper de tels arbres, en tirer le meilleur profit. Il n’y existe qu’un seul petit village situé sur la côte, non loin du port en constante suractivité. Le reste de l'atoll n’est que futaie et bois épais.
C’est sur cette île qu’est né celui qui deviendra plus tard un éminent Vice-Amiral de la Marine : Roa Prague.
Le jeune Roa s’épanouit très vite dans cette communauté soudée et fraternelle. Le village ayant moins d’une centaine d’habitants, ils se connaissent presque tous. Les hommes deviennent bûcherons tandis que les femmes s’occupent du commerce interne et externe, bien qu’aucune obligation ni tradition familiale n’implique d’exercer ces deux métiers.

Devant l’armoire à glace qu’était son père et la bonté du cœur qu’il dégageait, Roa fut séduit par le personnage. Décidé comme tous les autres à suivre le pas de ses aînés, il devint aide-bûcheron de son paternel à quatorze ans. Puis obtient le titre de « Bûcheron indépendant » à seize piges mais continue de travailler pour son père.
C’est à cet âge qu’il prend conscience de ses sentiments pour Rowena, une jeune fille qui le laissait sans voix à chaque fois qu’il la croisait, sans qu’il ne sache pourquoi. Il prend son courage à deux mains et déclare sa flamme, Rowena avoue l’aimer depuis des années. Vingt-quatre mois plus tard, les deux jeunes gens se marient sous le Grand-Chêne comme le veut la coutume.
C’est dans une entente cordiale qu’il se sépare professionnellement de son père et se proclame indépendant. Il se fabrique sa propre maison de la sueur de son front et s’y installe avec sa bien-aimée.

Quelques temps plus tard, la paisible tranquillité de Bûche-Ronde est détraquée par l’arrivée de mystérieux individus aux sombres projets. Se faisant passer pour de simples clients, leur navire reste amarré au large, à l’écart de la côte pendant des jours. C’est lorsque les hommes furent partis dans la forêt pour travailler qu’ils lancèrent l’assaut. Ils se révèlent être des trafiquants d’esclaves. Ils tuèrent les vieilles ainsi que les trop jeunes personnes et kidnappèrent les femmes dans le but de les revendre.
De retour, les bûcherons furent horrifiés. Des survivants ayant réussi à se cacher leur dévoilèrent ce qu’il s’était passé. Inhumant les morts et soignant les blessés, le moral fut au plus bas sur Bûche-Ronde.
Après avoir honoré la mémoire des défunts, Roa pris la décision de se lancer à la poursuite des salauds à l’origine de tout ça. Son principal but et de retrouver sa femme Rowena, libérer le reste de son village ne lui est que secondaire tellement son amour pour elle est grand. Sa mère ayant également disparue, son père – Romoa – décida de l’accompagner.
Le fils et le père se lancèrent donc dans une quête sans fin.

La bande de malfrats était composée de vingt-six hommes. Quatre-vingt-quatre jours après leur départ, ils réussirent à aller au contact. Dès lors, leur carrure donnée par leur profession joue en leur faveur et ils réussissent à en abattre sept en plus de faire un prisonnier. Après un tabassage monumental, ce dernier avoue la future destination des fuyards. Les deux hommes n’avaient jamais été cruels, la torture de ce type leur resta donc en travers de la gorge.
La deuxième escarmouche survint trois semaines après la première. De nouveau, ils réussissent à abattre plusieurs brigands. C’était lors d’un ravitaillement des brigands sur une petite île sans histoire, une partie du groupe resta sur le bateau tandis que six autres allèrent chercher des vivres, c’est ceux-là que Roa et Romoa prirent en chasse. Les deux bûcherons leur tombèrent dessus sans prévenir et en abattirent deux de leur hache, donnant peur aux autres qui prirent la fuite et entamèrent l’ascension d’une colline pour s’y réfugier. Courant à leur poursuite, les anciens habitants de Bûche-Ronde les coincèrent bien vite, une immense falaise à pic donnant sur la mer et sur un amas de rochers leur barrant le passage. Néanmoins, les poursuivants ne bénéficiaient plus de l’effet de surprise. Ils étaient donc en mauvaise posture devant des adversaires deux fois plus nombreux. Bercé par une colère et une rage sans bornes, Romoa se lance en premier, tête baissée. Une épée le reçoit et pénètre dans ses côtes, il tombe au sol grièvement blessé et laisse ainsi son fils seul. Celui-ci a bien du mal à résister, il contre désespérément les coups dans l’attente de la mort mais se bat sauvagement, ce qui lui a assuré la survie jusque-là. Il réussit à en décapiter un mais se fait blesser aux jambes et tombe au sol. C’est lorsqu’il se croit condamné que son père se releva d’une blessure qui aurait du lui assurer un décès direct et se jeta sur les trois hommes lui tournant le dos. Il écarta les bras et enveloppa les deux premiers pour finalement pousser le troisième de la tête. La charge du colosse propulsa ses cibles par-dessus la falaise, lui avec.

Plus que ses blessures, se fut le décès de son père qui l’amoindrit considérablement. Extrêmement fiévreux pendant des jours, il frôla la mort à plusieurs reprises mais les soins d’un médecin très doué le firent échapper au pire. Son rétablissement survint et, malgré le choc au moral, il continua son périple, reprenant cette fois-ci seul le bateau construit par lui-même et Romoa.
Une tempête coutumière de Grandline survint, étant à présent seul pour manœuvrer, il ne put éviter de chavirer. Il échoua dans une archipel. Ce qu’il découvrit là changera radicalement son destin. De vastes plaines étaient habitées par des équidés encore plus majestueux et plus véloces que les espèce de chevaux qu’il connaissait. Les dégâts qu’avait subi son navire furent faramineux. Il fulmina car le temps des réparations permettrait sûrement aux kidnappeurs de prendre une nouvelle longueur d’avance. Sa présence ne semblait pas déranger les chevaux, que du contraire même. Ils se révélèrent extrêmement amicaux. Il vécut en communion avec eux pendant un petit temps et les animaux le guidèrent sur l’île, là où il pourrait trouver les meilleurs matériaux afin de raccommoder son embarcation. Un des équidés récolta particulièrement son affection. Un jeune hongre brunâtre, des tâches blanches enjolivant son ventre. Roa le nomma affectueusement Aldebeert.
Il s’apprêtait à repartir lorsque la tempête retarda à nouveau son départ. Au cours d’une promenade sur le dos d’Aldebeert, il découvrit que la tempête avait fait chavirer un autre bateau. Il s’enquit des blessés et prodigua du mieux qu’il put les premiers soins. Les chevaux parcoururent l’île et trouvèrent des herbes médicinales. A leurs réveils, les rescapés s’avérèrent tout d’abord amicaux. Mais bien vite, leur vraie nature se révéla dès lors qu’ils virent les réelles capacités des chevaux de cette île. Cupides, ils décidèrent de chasser les équidés pour les vendre.
Roa les trouva bien ingrat après tous ce que les animaux avaient fait pour eux et aida ces derniers à expulser les braconniers de l’île.

Après cette épopée formidable, il repartit sur les mers avec un nouveau compagnon qui ne voulait plus le lâcher d’une semelle, Aldebeert. Les voyages maritimes n’étant pas la tasse de thé des chevaux, il travailla le bois afin de construire une cabine spéciale, une sorte d’écurie pour navire.
Lorsqu’il vint enfin à bout des vendeurs d’esclaves après quatre années passées à travers le monde à leur poursuite, il apprit par la bouche du dernier survivant que Rowena fut vendue à un riche propriétaire de Water Seven.
Là-bas, il vit que sa bien-aimée avait perdu la mémoire, sans qu’il ne sache comment et qu’elle était devenue la femme du propriétaire en question. Et qui plus, cet homme était aimant, bon et riche. Le désespoir s’empara de Roa lorsqu’il vit Rowena était amoureuse du propriétaire.
Accablé, seule sa solide amitié avec Aldebeert l’évita de mettre fin à ses jours.
Trop de poids comprimait ses épaules : L’enlèvement de sa femme, la mort de son père, les douloureuses retrouvailles et par-dessus tout, les meurtres qu’il avait perpétré. Même si ces trafiquants d’esclaves étaient des salauds de la pire espèce et méritaient ce qui leur était arrivé, le fait d’avoir commis des meurtres balançait lourd sur la conscience du jeune homme. Ce sont ces actes qui créèrent en lui une part de noirceur qu’il n’avait pas avant. Des sautes d’humeur le prenait de plus en plus souvent.

Sa rencontre avec des officiers de la Marine – ceux-ci l’ayant aidé contre des voleurs – était l’occasion rêvée de se repentir. Le Gouvernement recrutait à tour de bras à ce moment-là pour pouvoir se forger une meilleure place dans le monde. C’est donc à vingt-quatre ans qu’il devint un Marine.
La carrière qui s’en suivit fut extraordinaire et agrémentée de hauts-faits militaires. Roa devint une figure de la Marine, l’homme au cheval, le cavalier, le centaure, ce genre de surnoms fut courant pour le désigner.
Il devint Lieutenant à vingt-neuf ans, Lieutenant-Colonel à trente ans et finalement Colonel à trente-trois ans.
Il soumit alors l’idée d’intégrer des unités de cavalerie aux rangs de la Marine pour agrémenté la force de frappe terrestre. Séduit par cette idée, les hautes-strates du Gouvernement lui accordèrent le commandement du 1er Régiment de Cavalerie.
Vingt ans plus tard, son nouveau fait d’arme lors de la Guerre Civile de San Falco l’illustra au rang de Vice-Amiral. Avec cela, une faveur lui fut accordée. Il demanda à ce que le vieil Aldebeert sache courir sur les flots, déclarant que c’était le plus grand rêve du cheval. L’Etat-Major, quoique surpris par cette demande, réquisitionna le meilleure scientifique du Gouvernement – Vegapunk – et s’attaqua à cette tâche. Ce dernier conclut un alliage de granit marin et d’objet retrouvés sur une vieille épave tombée du ciel, des objets appelés Dials d’après le carnet de bord de l’épave. Il donna à tout cela la forme de fers à cheval pour Aldebeert.
Le Cavalier de la mer, le Centaure des flots, le sabot fendant les vagues, encore un amas de nouveaux quolibets qui vinrent lui coller à la peau.

La soixantaine passée, l’exécution du Seigneur des Pirates survint. Il fut lancé à la poursuite de celui-ci en même temps que son ami Garp. Il ne l’attrapa jamais malgré quelques affrontements, sa chance ne fut pas venue. Garp, quant à lui, eut cette chance et réussi la capture du siècle. C’est avec une certaine nostalgie que Roa assista à l’exécution du fameux Gol D. Roger. Garp devint une légende, faisant de l’ombre aux innombrables exploits de Roa, mais ce dernier ne lui en voulut pas le moins du monde, tout ce qu’il voulait, c’était accomplir son devoir, il ne se préoccupait pas de la gloire.

Depuis ce jour fatidique, il est quémandé un peu partout, tellement l’ampleur que la nouvelle ère de piraterie à prise est gargantuesque.

Il y a un an, il quitta Marie-Joa pour aller mener à bien sa nouvelle mission, l’aide à l’Armée Royale pour rétablir l’ordre dans le pays d’Alabasta. Une base est instaurée à Alubarna, non loin du palais. Aujourd’hui, cette affaire atteint son paroxysme.

Post RP ( cfr ci-dessous ) : A suivre

Nia le retour de Daz
et en pleinne forme d'après les descriptions que tu a fournis
Bonne chance

Le mot "Retour" est plutôt mal placé vu que je n'ai pour ainsi dire jamais quitté le forum. Enfin si, mais pas volontairement. J'ai appris qu'un éclair et un PC ensemble ça ne formait pas vraiment un bon couple. Les fois où je me connectais c'était chez des amis où je n'avais pas réellement le temps de poster, même dans le flood.

A mon retour, je vois que Daz à trouvé nouvelle chaussure à son pied. Ca n'en est pas plus mal, je ne me sentais pas vraiment à l'aise avec lui, je n'arrivais pas à RP convenablement ou du moins, je n'étais pas satisfait. Sans doute n'était-il pas assez vieux pour moi.

Enfin bref, content d'effectuer un retour "officiel" alors.

Merci à toi.

Petite question : Ca veut dire quoi SPF?

Yeay, un gaucher! Je suis moi même IRL un gaucher et fier de l'être!

A part çà rien d'autre à dire si ce n'est uqe je trouve que ta présentation est un très bon début, bonne chance quand à l'obtention de ton personnage!

EDIT: Sans Personnage Fixe, je suppose.

Shanks le Roux a écrit:: Yeay, un gaucher! Je suis moi même IRL un gaucher et fier de l'être!

De même ami gaucher! Vive les gauchers cheers

Citation :: A part çà rien d'autre à dire si ce n'est uqe je trouve que ta présentation est un très bon début, bonne chance quand à l'obtention de ton personnage!

Merci à toi, ami gaucher.

EDIT : Ah oui, pas bête.

Et hop, rajout de l'histoire! Manque plus que le post RP qui ne devrait normalement pas tarder

Bonne chance !!

Invité

Hé hé bon retour alors si je puis dire.
^^
Daz est libre par contre, mais si tu préfères changer, qu'il en soit ainsi.
Bravo en tout cas pour cette présentation qui pourtant est non achevée.

Content de te revoir, j'ai toujours craint que tu ne veuilles pas revenir après avoir perdu ton perso précédent. La fiche est de très bonne facture, mais ça ne m'étonne pas. ^^

Merci à vous!

Robin : Non, je ne préfère pas changer. Comme je l'ai dit plus haut, je ne me sentais pas très bien avec Daz. En fait, je suis plutôt content de changer. Si ça pouvait aider le forum - et ça peut l'aider - je l'aurais repris volontiers mais j'ai vu que des membres de la Marine étaient également nécessaires. J'ai donc bondi sur l'occasion pour me créer un personnage qui me plaît.

Zorro : Bah, si je l'ai perdu c'est un peu (beaucoup) de ma faute. Même si mon ordi a cramé, j'ai eu l'occasion d'aller sur ceux de mes amis et autres personnes de ma famille, et donc d'avoir l'occasion de signaler mon absence. Mais je ne l'ai jamais fait, sans que je ne sache pourquoi. C'était assez étrange, je me disais à chaque fois "Bon, la prochaine fois, je signale mon absence"... Mais c'est jamais venu -_-

Enfin bref, le post contenant mon histoire est trop rempli pour que je puisse également y mettre mon post RP, je mets donc ce dernier ici-même. Je préviens, il est assez... spécial... J'ai pas mal déliré. S'il faut changer des trucs, c'est fort compréhensible. Bon, c'est parti

POST RP:

Prologue :

Il y a vingt ans, lors d’une guerre opposant deux îles rivales, un groupe d’héroïques soldats maintint ses positions sur le point culminant de l’île ennemie. Pour ces derniers, ce n’était qu’une question de repoussement de l’adversaire, pour les assaillants, c’était un point vital.
Cette petite vingtaine de soldats réussit à tenir un mois, seize jours et huit heures contre les centaines de défenseurs.
Ce post… ne raconte pas leur histoire.

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Le désert, vaste étendue de sable impardonnable avec les inconscients. On ne lui connaît comme limite que les contours du Royaume d’Alabasta. Les villes de ce vaste territoire sont regroupées près des points d’eau, laissant de spacieuses contrées solitaires à l’écart de toute vie humaine. Le soleil - irradiant la mort aux imprudents - pèse d’une chaleur de plomb mais nécessite un enveloppement dans du textile conséquent pour éviter toute brûlure. Un périple au beau milieu de ces paysages létaux n’est pas des plus évident. Avoir la direction d’un ravitaillement d’armement en ces lieux pourrait être considéré comme un enfer. Et pourtant, cela ne semble pas affecté le moins du monde le Vice-Amiral Roa Prague, commandant la caravane. Juché sur un vieux cheval, un vieillard à la moustache et à la barbe prépondérante, aux proportions hors-norme donnait quelques ordres à son aide.
Le convoi se composait de dix chariots d’armement, contenant fusils, épées, armures et autre protections. Ce qui servirait autant à l’Armée Royale que la Marine. Vingt-cinq pièces d’artillerie juchée sur des sortes de rampe permettant de glisser sur le sable était tirée par de puissants chevaux. Le 1er Régiment de Cavalerie encadrait le tout, accompagné par une quarantaine de fusiliers.
Roa venait d’arriver à Alabasta. Pour sa nouvelle affectation, il devait aider Nefertari Cobra et son peuple à adoucir les conséquences de la guerre civile, voir à les supprimer totalement. Afin de placer le degré d’efficacité au summum, le haut-gradé avait décidé d’installer une base près du Palais Royal, à Alubarna. Même si c’est une mission diplomatique, le Vice-Amiral savait parfaitement qu’une guerre civile ne se déroulait pas sans émeute. Ce qui suscitait donc le besoin d’un tel ravitaillement. Venu du port de Nanohana, le chemin était plutôt long jusqu’à la capitale. Une mésentente avec l’officier ayant amené l’arsenal sur l’île découla en dispute et l’homme refusa de passer les navires par le fleuve pour tout débarquer non-loin de la Capitale. Après la promesse de le traîner en cours martiale après cette affaire, Roa Prague prit donc les choses en main et du apprêter son escouade à la traversée du désert.
Les rapports de la situation déclaraient clairement que des rebelles avait établi une base secondaire à Katorea, non loin de Nanohana. Les risques d’attaques étaient donc nombreux. Et ces risques s’avérèrent vérifiés. Vers midi, des ombres menaçantes s’élevèrent sur les dunes au loin.

- M’est avis qu’ils sont pas là pour discuter, les p’tits gars. Formation de combat ! Enlevez nos chevaux de trait et tassez-les dans la cuvette non-loin. Laissez-les venir, fusiliers en première lignes, une unique salve pour les ralentir, laissez-les prendre ce qu’ils veulent, on leur donnera la chasse et on profitera de notre cavalerie pour les rattraper, réfugiez-vous près des chariots, ils n’oseront pas tirer car ils pourraient faire exploser la poudre et détruire ce qu’ils cherchent à prendre. Dit Roa sur un ton posé à son Sergent qui répéta l’ordre en criant, pour que tout le monde l’entende. Ceux-ci viennent de l’est, de Katorea donc, c’est sûrement une diversion pour permettre à une autre troupe de nous prendre à revers, qui se réfugiera vers le fleuve, laissez celle-ci venir et minimiser les dégâts.

Une nouvelle fois, le Sergent-Chef Abraham, personne entre deux âges, répéta les ordres de sa voix puissante. Moins d’une demi-heure plus tard, c’est une demi-centaine de cavaliers qui dévalèrent les dunes à vives allures. Après une longue approche dans une attente silencieuse, ils furent accueilli par une quarantaine de coups de feu qui envoyèrent la moitié des assaillants valser au tapis. Les chevaux des rebelles se firent plus hésitants malgré les encouragements des hommes les chevauchants. Comme prévu, un autre groupe surgit du relief accidenté du désert et, après un court combat contre l’arrière-garde, s’emparèrent d’une partie du convoi. Les cavaliers rebroussèrent chemin tandis que leurs amis prenaient la fuite avec la cargaison de la Marine.

- Sergent-Chef, au rapport !
- Vice-Amiral, les troupes rebelles ont réussi à voler dix pièces d’artillerie et trois chariots d’armes. Nous comptons sept morts et douze blessé dans nos rangs.
- Bien, je veux quinze cavaliers avec moi, les autres restent ici au cas où les fuyards auraient des envies de revenir. Exécution. Demanda-t-il, toujours aussi calme.
- Monsieur, si je peux me permettre, pourquoi leur avoir laissé l’occasion de prendre nos canons ? Ils vont sûrement nous canarder avec lorsqu’ils verront qu’on les poursuit. Un sourire se ficha sous la barbe du Vice-Amiral.
- Mon p’tit gars, c’est pas des rebelles du dimanche inexpérimenté dans l’art de la guerre qui arriveront à canarder quelqu’un convenablement dans un endroit aussi espacé que le désert. Bon, en route, il faut les rattraper avant qu’ils n’atteignent le fleuve !

Le 1er Régiment de Cavalerie ne se pressa pas, il y avait une bonne distance séparant l’endroit de l’attaque du fleuve et les chargements volés ralentiraient sans aucun doute les rebelles, leurs montures n’étaient pas des chevaux de charge. Le groupe d’élite de la Marine attendrait donc qu’ils se fatiguent. Après une heure, ils firent une pause à l’ombre des rochers.

- … c’est ainsi que Garp et moi-même nous lançâmes à la poursuite du Seigneur des Pirates, pour finir… Roa fut coupé par la détonation d’un canon, une explosion retentit contre les rochers, les rebelles étaient passés à l’attaque car ils venaient de prendre conscience qu’une fuite continuelle les mènerait à leur perte, utilisant l’artillerie volée à leur fin. Cette première explosion déclencha l’effervescence chez les Marines. Tous remontèrent à cheval, sauf deux : Le Vice-Amiral Prague, accroupit près d’un de ses subordonnés continuait son récit tandis que ce dernier était paniqué. Pour finir, ce vieux bougre de Garp réussit à mettre la main en premier sur Roger. Une nouvelle explosion retentit, passant à quelques mètres à peine des deux représentants du Gouvernement alors que les autres avaient trouvés abris sous les rochers. Le simple soldat sursauta de peur, il était effrayé à l’idée de mourir mais s’en aller en courant serait une marque d’irrespect envers son supérieur et pourrait le mener en cours martiale. Roa, lui, n’avait pas bronché et regardait toujours son interlocuteur en narrant les faits. Et tu sais ce que j’ai ressenti quand j’ai vu le vaisseau de Garp entré au port sous les acclamations ? De la fierté, pardi. S’exclama-t-il, tout sourire alors qu’une troisième salve déchiqueta la roche à leurs côtés, faisant à nouveau sursauter le jeune Marine. La fierté d’être un Marine !Il était fort ce salopiaud de Roger, je le sais, je l’ai affronté plusieurs fois. Et pourtant, nous, la Marine on en est arrivé à bout, c’est pas magnifique, ça ? Dit-il en rigolant. Il se releva enfin, un boulet lui siffla aux oreilles mais vint s’écraser plusieurs mètres derrière Roa. Oh, le temps est couvert, on dirait. Bon, gamin, qu’est-ce que tu fous encore à pieds ? Allez, hop, hop, en selle ! On va faire une sortie et mettre fin à cette petite broutille.

Le jeunot ne se fit pas prier et courut rejoindre son cheval, à l’abri avec ses camarades tandis que l’ancien habitant de Bûche-Ronde ne se pressa pas, il monta Aldebeert, dégaina le sabre à sa taille, leva le bras, puis rabattit celui-ci, déclenchant ainsi la charge.
L’affrontement fut bref. Les petits nouveaux placés sous le commandement de Roa ne comprirent pas comment celui-ci réussit à mettre fin aux hostilités en quelques attaques ravageuses.

- Le Vice-Amiral Roa Prague.

Annonça l’intendant du roi Nefertari Cobra. Juché sur son trône, le charismatique souverain s’apprêtait à recevoir l’homme qui l’aiderait à mettre fin à cette terrible guerre rongeant son royaume. Ayant eu vent de la bataille qui avait eu lieu dans le désert à propos d’un vol d’équipement, il s’apprêtait également à féliciter le vieillard pour avoir déjouer ce plan des rebelles en ayant minimiser les morts, car il n’aimait pas savoir que les gens de son peuple mourrait. Suite à l’annonce de l’intendant, des bruits de sabots cognant contre le carrelage retentirent dans le corridor. Intrigués, toutes les personnes présentes se demandèrent ce qu’il se passait. Apparu alors par les doubles portes un cavalier monté sur son cheval. D’abord abasourdi, l’intendant entreprit de glisser quelques mots à ce nouvel-arrivant.

- Euh… Monsieur Prague, les… Euh… Chevaux sont interdits dans l’établissement.
- Chevaux, quels chevaux ? Demanda l’apostrophé, ourdi.
- Celui que vous montez. Répondit l’intendant, toujours aussi surpris.
- Ah, lui, ouais mais non, ça pose pas de problème, il est propre.
- Euh… Là n’est pas le problème, monsieur. C’est juste stipulé dans le règlement de bon ordre intérieur.
- Ah, le règlement d’ordre intérieur, désolé je l’oublie souvent celui-là. Bon, on fait comment alors ? On s’entretient dehors ?

L’intendant en resta sans voix.

Héhé, oakeri again Onii-chan ! Sérieusement, content de te revoir parmi nous, j'étais et je suis, un addict de tes posts je crois, j'ai remarqué que tu aimais les méchants que personne n'aiment à part moi. ( Du genre Bellamy et Spandam xD )
Enfin, tu as bien joué bouboule rasée et je suis ravi de te voir sur un autre personnage.

Comme je m'y attendais, présentation parfaite, si je dois repprocher une chose, c'est un peu trop de dialogues dans ton rp test, sinon c'est du tout bon, alors, je suis de bonne humeur et plus Funky que jamais so, j'te donne ton premieryes, yosh !

C'est bon pour moi également. ^^ J'ai bien rigolé en lisant le post rp, je dois l'avouer.
Te voilà donc validé. Au passage, je pense qu'il ne serait pas superflu que tu te rendes dans la section de recrutement, notamment pour - peut-être - répondre favorablement à la demande de Joe Striker.

Hop, hop, hop. Merci à vous deux les p'tits gars. Ca vous fait un Vice-Amiral aux basques dès lors que vos primes seront suffisamment élevées

Franky : Effectivement, j'ai remarqué que les méchants n'avaient pas la côte sur ce forum. Pourtant c'est souvent du côté obscur que l'on retrouve les protagonistes les plus charismatiques.

Zorro : Je vais aller voir ça de plus près.

A bientôt pépé vice-amiral.
de la part d'un déserteur, ex-vice-amiral.

Donc, si j'ai bien compris, à moins de vingt-six tu es devenu Vice-Amiral?

Enfin bref, merci à toi. Même si les rénégats, je les attrape, je les ramène de force à la base et j'assiste à leur pendaison avec un paquet de pop-corn en mains.

Bon, c'est pas tout ça mais je vais aller faire ma fiche technique, moi.

Pas pu en placer une avant (mon PC a planté hier quand j'étais en train d'écrire et je n'ai pas eu le courage de redémarrer...)

Ta présentation est nickel en tous points, du moins pour ce que j'en ai lu (hoy un gaucher! je suis moi-même un gaucher.... contrarié^^), tu mérites certainement le rang de Vice-Amiral vu la qualité.

Le seul truc que je trouve bizarre, c'est que ton personnage, un Marine, soit à la tête d'un régiment de cavalerie, un poste de l'armée de Terre... Existe-t-il quelque chose de tel au service du gouvernement? On a vu des cavaliers sous les ordres de Pell il me semble à Alabasta, on peut imaginer quelque chose de plus efficace et puissant au service du gouvernement mais dans la Marine, ça le fait pas je trouve :/

Enfin, ça n'est là que mon avis perso, apparemment je suis le seul à avoir tilté , je n'ai même pas de solution à proposer puisqu'on ton personnage est très intéressant et bâti apparemment sur cette qualité de cavalier. A part peut-être en faire un homme à part et original, un cavalier qui prend le bateau (et tout son régiment se déplacerait en bateau)...

Ben en fait, du temps de la piraterie, la Marine possédait des postes aussi bien terrestres que maritimes, je suppose qu'il en est de même dans l'univers de maître Oda.

Qui plus est, Roa s'occupe de mission longue. Il n'est quasi jamais demandé pour une simple escarmouche, ce qui fait qu'il s'installe sur l'île de sa mission et agit de plus ample manière.

J'avais réfléchi à cette question aussi, et c'est pour ça que je me suis inspiré de l'univers loufoque de One Piece pour que la monture de mon perso soit capable de courir sur les flots.

En outre, je suis sûr que les charpentiers de Water Seven (Fournisseur officiel du Gouvernement) ont aisément pu créer des sortes de cabines spéciales ou les chevaux du régiment seraient installés durant le voyage.

Pour finir, cette idée a germé dans mon esprit lors de la relecture de l'arc Alabasta où les montures occupent des places prépondérantes. Parcourir un pays à pieds, ça ne permet pas une bonne disponibilité de mouvements, donc on prend des montures. Dans ce cas, pourquoi pas une unité spécialisée vu que cela peut avoir toute son efficacité?

Par contre, je bloque sur la fiche technique, pas facile de mettre un cavalier en jeu

Eh bien tu sembles avoir pensé à tout ça depuis belle lurette... Je m'incline donc (à inscrire dans les annales ) et te re-souhaite bon jeu

Et j'en profite pour saluer le fan de Hiruma, je trouve qu'il n'y en a pas assez...

Et bien entendu, tout vieux et cavalier que tu sois, tu prends une brosse, une éponge et tu rejoins les autres petits nouveaux de la Marine/Gouvernement dans la salle de bain des quartiers de l'Amirauté, j'aimerais bien que ça brille avant fin septembre

Ao Kiji a écrit:: Eh bien tu sembles avoir pensé à tout ça depuis belle lurette... Je m'incline donc (à inscrire dans les annales ) et te re-souhaite bon jeu

Effecitvement, j'ai pas mal trifouillé sur la question. Re-merci à toi!

Citation :: Et j'en profite pour saluer le fan de Hiruma, je trouve qu'il n'y en a pas assez...

Peu de fans et pourtant, c'est du bonheur à l'état pur ce personnage. Il tient presque à lui tout seul le rythme du manga (Bien que une tonne d'autres personnages sont excellents. C'est juste que lui, il ne joue pas dans la même cours.) Enfin bref, Hiruma au pouvoir (Quoique... Au secours).

Citation :: Et bien entendu, tout vieux et cavalier que tu sois, tu prends une brosse, une éponge et tu rejoins les autres petits nouveaux de la Marine/Gouvernement dans la salle de bain des quartiers de l'Amirauté, j'aimerais bien que ça brille avant fin septembre

"Hola, mon p'tit gars! C'est ainsi que tu traîtes tes aînés? Tu têtais encore aux seins de ta mère que je collais aux basques du mythique Gold Roger."

Roa Prague a écrit:: "Hola, mon p'tit gars! C'est ainsi que tu traîtes tes aînés? Tu têtais encore aux seins de ta mère que je collais aux basques du mythique Gold Roger."

Sans doute, mais si les vieux débris avaient bien fait leur taf, ils ne se seraient pas contentés de lui coller aux basques et n'aurait pas été dépassés dans la hiérarchie par plus jeune et surtout plus beau qu'eux Et apprends à ton canasson à utiliser les paillassons, le sergent Joe Striker avait eu un mal de chien à faire reluire mon parquet...

A part je te conseille Hajime no Ippo ne serait-ce que pour Takamura, un autre énergumène aussi original que Hiruma et qui me plie de rire quasi à chacune de ses répliques

Ao Kiji a écrit:: Sans doute, mais si les vieux débris avaient bien fait leur taf, ils ne se seraient pas contentés de lui coller aux basques et n'aurait pas été dépassés dans la hiérarchie par plus jeune et surtout plus beau qu'eux Et apprends à ton canasson à utiliser les paillassons, le sergent Joe Striker avait eu un mal de chien à faire reluire mon parquet...

"Les vieux débris ont fait leur boulot, mon p'tit gars. Garp est plus tout jeune, mais c'est lui qui a attrapé le Seigneur des Pirates. Et puis, c'est pas de ma faute si ce bon vieux Sengoku et le conseil des Cinq Doyens accordent le rang d'Amiral au premier jeunot venu ayant mangé un logia, faisant ainsi de lui un Grosbill. Eh, je ne te permets pas! Aldebeert est le cheval le plus propre qui soit."

Citation :: A part je te conseille Hajime no Ippo ne serait-ce que pour Takamura, un autre énergumène aussi original que Hiruma et qui me plie de rire quasi à chacune de ses répliques

J'ai lu les quelques premiers tomes en scan il y a un petit bout de temps. Ca m'avait plu mais je n'ai pas réussi à me procurer la suite. Dommage. J'irai fouiner après ce manga en librairie la prochaine que je vais faire quelques amplettes.

Heu il n'est dit nulle part que Garp a arrêté Gold Roger, on dit de lui qu'il est célèbre pour l'avoir traqué sans relâche, mais pas plus

Les conditions réelles de l'arrestation de Roger sont inconnues et les hypothèses à ce propos sont légion

Ah ben moi, j'ai lu qu'il l'avait attrapé.

Ca doit dépendre de la traduction du scan.

Epinglé en tant que modèle de présentation pour les membres du gouvernement et / ou de la Marine.

» A l'aube d'un nouveau jour [PV: Moi, Roa Prague,Keisuke]