Mello dit / Présentation

Nom et prénom : Mello Kiro

Age : 25 ans bientôt 26

Membre de quel équipage : J'aimerais bien créer mon équipage =)

Rang : Capitaine ou membre d'un équipage à part entière.

Description physique : Mello est un jeune garçon de taille relativement grande, plus précisément un mètre quatre-vingt quatre, et pèse dans les environs de soixante-dix kilogrammes. Le jeune homme a les cheveux longs, blonds qui lui lui arrivent sur les yeux. Les contours de ces derniers sont relativement noirs, mais pas trop non plus. Il a un regard pronfond et malsaint, même si cela ne reflète pas sa personnalité propre. Mello peut paraître frêle et maladif, mais il ne faut pas croire à ce que l'on voit, en effet, cet adolescent est d'une force plutôt surprenante, mais du moins réaliste. Il se tient principalement droit quand il est debout, mais souvent courbé ou mis de façon bizarre quand il est assis, il n'hésite pas deux fois quand il s'agit de se mettre la tête à l'enverre et les pieds en l'air quand il s'assit sur un fauteuil. Il a d'assez grandes jambes justement, et fait du quarante-cinq en pointure. Sa bouche est relativement fine et ses extrémitées tirants vers le bas, mais cela n'empêche pas qu'il sourit très souvant et a souvent sur lui un sourire joyeux qui illumine ce visage qui paraît à première vue plutôt sombre. Mello a un visage fin ainsi que ses traits principaux. L'adolescent à un nez fin et élégant.

Profil psychologique : Mello, jeune fomme de vingt et un ans, est ce qu'on pourait dire...un gentilhomme. Malgré ses airs glauques et rebelle, se cache derrière-lui un coeur d'or, ne se faisant passer jamais en premier, il fera toujours tout pour les gens qu'il aime, avant de penser à sa propre personne. Mello a la joie de vivre, il y en a même qui disent que c'est "la joie incarnée" ou encore "toute la joie du monde réunie dans une seule et même personne". Il ris casiment tout le temps, vous le verrez rarement triste ou déprimé. Parlons-en justement, il déteste qu'on lui fasse quelque chose de mal, comme insulter un de ses amis, le frapper, l'insulter lui-même,...il est intolérable sur ce genre de chose. Mello est de nature rebelle, il déteste les personnes qui se croyent meilleures que les autres et qui s'y croyent. Il n'hésitera jamais de le faire remarquer à la personne en question en disant comme: "Hey! Le plouc! Arrête de te la jouer!", ce qui lui a vallu un nombre considérable de cocars et autres... Mello va souvent vers les gens, c'est pour cela, qu'il a un nombre plutôt important d'amis, et partout où il va, il s'en fait de nouveau. Le jeune homme est très serviable et généreux, dés qu'il le peux, il aidera volontier des personnes agées ou défavorisées en les aidant de différentes sortes. Malgré ses nombreuses qualités, il a quand même quelques défauts, il n'est pas parfait non plus... Par exemple, il ne mâche jamais ses mots, dit ce qu'il pense, même si, parfois, il ne devrait rien dire et il devient méchant quand on lui fait une crasse. Aussi, il est assez hypocrite en ce qui concerne les personnes qui le déçoivent, même si il dit souvent ce qu'il pense, il fera bonne figure devant une personne qui lui a fait du mal ou autre et derrière son dos, Mello la critiquera sans vergogne. Mais bon, que voulez-vous, personne n'est parfait, n'est-ce-pas...

Armes(s) : Gants cloutés

Fruit du démon : Aucun en possession.

Histoire : Le petit Mello est né chez lui, dans sa maison natale d'une des petites îles de South Blue. Ces parents n'avaient pas les moyens pour que sa mère accouche dans de bonnes conditions, ce qui coûta la vie de sa maternelle...Mais le bébé survécu comme par miracle, ne se souciant pas que c'est, en quelque sorte, à cause de lui qu'il ne connaîtra jamais sa mère. Son père fut l'un des hommes les plus tristes du monde, il restait casiment cloîtré chez lui tous les jours, sortant de temps en temps pour aller mettre quelques paquerettes -les fleurs préférées de la mère à Mello- sur la tombe de sa défunt épouse ou pour aller faire quelques courses pour pouvoir avoir de quoi manger dans son assiette et celle de son fils. La déprime du père dura deux ans, deux ans vivant dans l'ombre avec son fils adoré qui lui donnait la volonter de vivre. Sans Mello, le père se serait suicidé sans réfléchir pour essayer de rejoindre sa tendre et belle femme dans le monde de l'au-delà. Puis, un beau matin -toujours aussi monotone pour le père-, le jeune Mello parla, oui, il parla, à deux ans, il avait enfin balbutié se mot, le mot dont tous les pères du monde aiment entendrent: "Pa-pa!" Le pauvre papa de Mello fonda alors en larme en entendant ses quelques mots sortant de la petite bouche innocente de son enfant, il pleura comme il n'avait jamais pleuré dans sa vie. Alors ce dernier sortit de sa maison en courant en tenant Mello dans ses mains et il le tendit haut dans le ciel, puis le père annonça à haute voix:
"Mon fils a parlé!!!!!"
C'était le petit matin, tous les villageois étaient encore dans leurs maisons en train de boire leur café fumant avec des tartines de pain beurrés. Mais à l'ouï des mots si profonds et enfin joyeux du père du petit Mello, ils sortirent tous en courant, se regroupant autours des deux membres de la même famille. Casiment tous les villageois avaient la larme à l'oeil quand ils virent pour la première fois depuis deux trop longues années le père du petit enfant rire à plein poûmon. Mello était haut dans le ciel et tenu par les mains si rudes et en même temps si douces de son père. Le rayon d'un soleil se levant au petit matin dans un village illumina le visage si doux du petit Mello qui riait lui aussi et dans une joie certaine, il s'exclama:
"Pa-pa!"
Bien des jours ont passés depuis les premiers mots que avait balbutiait le petit Mello encore frêle. Désormais, Mello était devenu un beau jeune homme de quatorze ans. La vie était dorénavant belle pour le père et son fils, ce permier racontait chaque soir, à l'heure du diner, à son fils chéri, l'une de ses aventures quand il était encore dont était friend son fils, ce qui fit naître en Mello une volonté rare à devenir, un jour, un pirate, comme son père l'avait été: fière et courageux. Un beau jour, alors que Mello venait d'avoir ses quinze ans, son père et lui allèrent à la fête du village. Son papa s'était inscrit au concour du plus gros mangeur de gigot grillé au barbecu de l'île. Le père de Mello s'était entraîné dur avec son fils pour pouvoir gagner la coupe du "Plus gros mangeur de gigot grillé au barbecu" et avoir un bon de dix achats gratuits chez le boucher du village. Le combat fut rude, et bien souvent le père voulu abandonner, mais à chaque fois, son fils était là pour l'encourager et lui donner de l'espoir. Malgré cela, son papa ne réussit pas à gagner son dernier adversaire, "l'Ogre" qu'on l'appelait, mais il gagna le prix de consolation: une paire de gant recouverte de clous. Le père ne voyait pas l'utilité de cette paire de gant bénine, alors il le donna de bon coeur à son fils le soir-même où il avait participé au concour et ils se firent un petit repas copieux pour fêter la seconde place qu'avait obtenu son père. Dés le lendemain, Mello se mis à s'entraîner chaque jour, sans relâche, au petit matin, pour atteindre son but de devenir un pirate de renommée et suivre les traces de son père. Six ans plus tard, alors que Mello eut vingt et un ans, il décida d'annoncer à son père qu'il allait partir le jour même, pour devenir un pirate. Au début, son papa était contre cette idée et refusait catégoriquement de le laisser partir. Mais au boût d'une heure de conciliabule, Mello parvint à convaincre son père de le laisser vivre sa vie comme il l'entendait. Ils sortirent alors tous les deux de leur maison et ils annoncèrent la nouvelle aux villageois du petit bourg. Ils accompagèrent tous alors Mello et son père jusqu'au rivage. Là, attendait un beau bâteau de taille moyenne pouvant acceuillir trois personnes tout au plus que la commune lui avait offert de bon coeur en apprenant la nouvelle. Mello était rassuré de prendre la mer avec ce beau bâteau et pas la petit épave qu'il avait confectionné lui-même pour son grand départ. Il monta sur le bâteau après avoir embrassé son père et l'avoir pris dans ses bras. Il chargea son bâteau de son sac où était ses habits, quelques vivres pour tenir une semaine tout au plus en mer et ses fameux gants, dont il savait se servir à la perfection désormais. Il désamarra le bâteau et celui-ci s'éloigna lentement de la rive où était le casi-totalité du village qui lui disait un adieu en faisant des signes de main. Tout devant, était là, son père, le fixant, le fixant longuement, avec, certes de la tristesse, mais une joie intérieur. Puis, soudain, il leva la main et dit en criant à son fils:
"Je suis fier de toi, mon fils!!!!!!"
Mello eu alors des larmes qui coulèrent sur ses joues, dorénavant, il était trop loin du rivage pour faire demi-tour, il ne voyait plus très distinctement les personnes du village, mais il entendit les paroles de son père, ce qui lui donna un sourire et une détermination sans borne, enfin il dit une dernière chose à son père en criant, mais en le disant de la même manière qu'il l'avait fait quand il avait pour sa première fois un mot: "Pa-pa":
"Je t'aime Pa-pa!!!!!"
...

Post RP : Il était tôt ce jour-là, environs six heures et demi du matin. Le soleil ne s'était pas encore levé, mais on pouvait voir un minimum dehors, les coqs n'avaient pas encore réveillés les personnes endormis et les oiseaux ne chantaient pas encore. Mello se réveilla alors, voyant que son père n'était pas encore levé, ni le jour d'ailleur, il se leva sur la pointe des pieds en faisant le minimum de bruit et il prépara, toujours en silence, un baluchon comportant un sandwich au poulet avec de la salade, un morceau de fromage jaune avec une assez forte odeur, un trognon de pain mou et une gourde usée remplie d'eau fraiche. Comme Mello voyait que son père ne se levait toujours pas, il décida de lui écrire un petit mot qu'il mettrais sur la table du salon. Il écrivit donc ce fameux mot:

"Papa,
Je suis partit à la pêche, je ne rentre que cet après-midi, vers seize heures, donc ne m'attend pas pour le déjeuner. Ne t'inquiète pas pour moi, j'ai pris de quoi casser la croûte.

Je t'aime.
Mello"

Mello avait refermé tout doucement la porte d'entrée sans la faire claquer ni la faire grincer. Il se tourna vers la sorte de petite cabane de bois juste à côté de sa maison, il y entra en tirant sur une poignée de vieille corde jaunie par l'âge et il pris une grande canne à pêche avec les bottes vertes de pêche et le filet qui allait avec. Il était désormais parré pour aller prendre du bon temps au bord de la rivière où grouillaient des poissons exquis à cuisiner. Il passa devant le poissonier du village justement, son stand n'était pas encore ouvert, M.Bihj devait certainement encore dormir, car il n'ouvre son comerce qu'aux abords de dix heures. Mello continua son chemin tout en passant devant les maisons de ses chers camarades de classes ou des villageois qu'il côtoit tous les jours. Après cinq minutes de marche à traverser le village en direction de la rivière, il arriva à une intersection où trônait un panneau montrant deux destinations: gauche "Vers la plage" et à droite "Vers la rivière Togordo". Alors il pris la direction de droite bien évidemment pour rejoindre la majestueuse clairière où se trouvait la rivière d'eau pure et limpide. Il marcha pendant environs un quart d'heure, le soleil s'était enfin levé et on pouvait voir désormé bien, même si ce dernier n'était pas encore levé complètement. Les routes étaient chaotiques, parchemés de pierres et de caillous en tout genre. Elles n'étaient pas droites non plus. Donc, après un quart d'heure tout au plus de marche, il arriva enfin à cette clairrière si pure, si belle, si colorée, si...magique. Des herbes vertes qui arrivaient jusqu'à la taille tapissaient le sol, des fleurs par-ci par-là qui donnaient un peu de couleur au vert si luisant, si envoûtant. Les papillons venaient à peine de venir butiner le pollen des fleurs demeurant dans cette clairrière d'Adam. Devant lui s'offrait un champ de quelques dizaines de mètres et ensuite, une sorte de petite rive de galets blanc bordant une rivière où l'eau, qui était alors éclairée par les faisseaux pâles du soleil levant, était scintillante, comme si on y avait mis des petites perles à la surface. Ce même rivage était bordé de plusieurs chênes majestueux qui offraient de parfaites zones d'ombre pour pouvoir s'allonger là et prendre du bon temps. Mello s'asseya alors à l'ombre de l'un de ces arbres et il commença à installer son équipement: il mis le filet en évidence, pris les bottes et mis l'hameçon au bout de la canne à pêche. Il pris alors la boîte à verres et il en planta un au boût de l'hameçon. Le jeune garçon lança alors l'hameçon dans l'eau et il s'allongea au pied d'un des chênes avec la canne à pêche à la main droite. Au boût de deux heures d'attente, Mello réussi à attrapper deux grosses carpes à écailles arc-en-ciel, très recherché dans les restaurants de renommée. Puis plus rien. Quand le soleil arriva au zenith, Mello sortit son sandwich au poulet, son boût de fromage avec le pain et sa gourde pour boire pendant son déjeuner. Vers les midi trente, alors que le jeune homme était en train de finir son boût de fromage, un autre poisson morda à l'hameçon: un goujon des rivières chaudes, ce poisson-là, cuit au four est divin. Mello était content, il avait fait trois grosses prises, contrairement à ce qu'il aurait pu imaginer. A treize heures de l'après-midi, après avoir constaté qu'il n'allait plus prendre de poisson, il plia bagage et il décida de retourner dans son village, chez lui. Mais en chemin, il en profita pour rammasser quelques pommes de terre sauvage que l'on trouve principalement dans les champs en plein soleil, pour accompagner les poissons qu'il avait pêché. Après un quart d'heure de marche, il arriva devant chez lui et il toqua à la porte:
"Papa, j'suis là, je suis rentré plus tôt que prévu!"
...

Voulez-vous être parrainé : Si vous voulez bien de moi, pas de refus =)

Zorro, dis-moi ce qui ne te vas pas et je changerais, je prendrais du temps si il le faut, mais tant que je dois la modifier pour qu'elle te plaise, je le ferais ^^

Merci beaucoup Zoro et je te l'envois dés que j'en trouve un, pas de problème

Blueno, merci beaucoup pour ta proposition que j'accept volontier
Tu as raison, j'ai commencé le rp y a 5-6 mois environs, mais bon, au moins je te connaîtrais

Merci, vous deux

Merci